vendredi 28 décembre 2007

Double propagande pro-métissage et anti-créationniste au 13h de France 2


Au 13h de France 2 ce 28 décembre 2007, les journalistes du service public nous avaient concocté un reportage sur une bande dessinée pour les enfants, sur Lucy et son histoire.

Les journalistes reconnaissent que, comme nous ne savons scientifiquement à peu près rien de cette histoire, le scénariste et le dessinateur ont quasiment tout inventé. Idéal pour voir quels genres d'idées nos chers journalistes sont prêts à relayer dans l'espace public sans avoir besoin de la moindre preuve.

La présentation tout d'abord : cette BD de Lucy permet "aux enfants d'apprendre beaucoup de choses", selon la présentatrice Elise Lucet. Moi, quand on cherche à faire apprendre quelque chose de vrai aux enfants via la BD, je ne sais pas pourquoi, mais je me méfie. Sans doute parce que j'ai beaucoup lu Tintin, Astérix ou encore la Bible en BD étant plus jeune. Passons.

"A l'origine de cette histoire, un fait réel" nous dit la voix off pour commencer : on peut en dire autant du romanquête de BHL sur la mort de Daniel Pearl, qui est pourtant un tissu de mensonges. Mais cette apparence de réalité permet justement de tout justifier, et surtout de tout mélanger, vrai et faux. Tu parles d'une bonne manière d'apprendre aux enfants...

La voix off continue sur les images qui défilent :

"Finalement l'histoire s'avère plus riche qu'il n'y paraît. Avec des luttes de pouvoir au sein d'un clan. Dans un milieu hostile, des êtres en situation de survie permanente. Et puis surtout, il y a cette rencontre, entre Lucy, et ce mâle d'une autre espèce, comme la première union mixte de l'histoire de l'humanité. Au final, un conte de presque 4 millions d'années."

Ainsi donc, à la télévision publique, les journalistes (la nouvelle clérocratie selon Régis Debray) nous racontent Adam et Eve, façon post-moderne. Sans le dire, tout en suggestion et surtout (notez le "surtout" de la voix off) en bons sentiments. Cette nouvelle religion exclut les créationnistes comme l'ancienne religion excluait les évolutionnistes. Où est le progrès ?


Quel journaliste informera le public que tous les créationnistes ne croient pas aux mêmes choses, tout comme les évolutionnistes ne croient pas tous à la même chose ? Les créationnistes sont ceux qui croient que Dieu a créé le monde, ce qui regroupe tout de même une majorité d'êtres humains vivants actuellement sur Terre. Mais nos médias préfèrent faire croire que les créationnistes sont comme ces Américains givrés qui expliquent que la Terre a été créée il y a 6 000 ans par Dieu, et tout ce qui est écrit dans la Bible s'étant passé exactement ainsi. Joli conte que celui-là...
Il est pourtant interdit de croire autre chose, sous peine de recevoir ce genre d'invectives : ignorants, idéologues, fondamentalistes, bornés, stupides, propagandistes, obscurantistes, illuminés, faussaires scientifiques, incultes, escrocs, obstinés, frivoles, faux candides, obscurantistes, inquisiteurs, menaces pour la science, extrémistes qui disent des fadaises, hérétiques qui élucubrent.

Le scientifique qui m'expliquera comment l'évolution a créé une queue pour que mon chat garde son équilibre, ce qui est la version incontestée aujourd'hui de l'utilité de la queue des chats, n'est pas encore né. Les créationnistes ne nient pas la sélection naturelle, d'ailleurs comment le pourraient-ils ? Ils font même remarquer que Darwin lui-même ne se l'expliquait pas, il la constatait mais son origine restait un mystère. Par contre ils nient l'évolution, c'est-à-dire la création par hasard ou intelligence de la nature (ce qui s'appelle l'animisme en fait) de choses aussi complexes que la vie, l'ADN, l'âme, la conscience, les cinq sens, etc. Les Américains ont cette intelligence par rapport à nous, c'est de laisser les gens s'exprimer, et de ne pas les excommunier dès qu'ils dévient de la vision dominante.


Regardons les faits. Est-on absolument sûr et certain que Dieu n'a pas créé le monde et la vie ? En a-t-on la preuve ? Il faut croire que non :
« La génération spontanée n’existe pas. Mais alors, un nouveau problème se pose. Si le vivant ne provient que du vivant, comment expliquer l’origine de la vie ? Au 20ème siècle, les biologistes ont tenté de répondre à cette redoutable question. Les grandes étapes du scénario traditionnel de l’apparition de la vie sur notre planète sont bien connues. Elles se seraient déroulées en deux temps : une phase physico-chimique, puis une phase biologique. Une synthèse chimique des composés de base nécessaires à la fabrication des matériaux entrant dans la constitution de la cellule est nécessaire. Ces composés se seraient accumulés dans des océans primitifs, formant un « bouillon de culture », ce qu’on appelle une « soupe prébiotique ». Puis, probablement à la surface de certains minéraux comme l’argile, ces éléments de base se seraient assemblés pour former des macromolécules. En plusieurs millions d’années, ces macromolécules se seraient auto-assemblées, auto-organisées pour former les premiers systèmes vivants capables de s’autoreproduire, et d’évoluer jusqu’à ce qu’émerge la première cellule. […] On a pu produire la totalité des acides aminés au cours d’expériences réalisées en phase aqueuse ou gazeuse. […] Autrement dit, ces chercheurs ont créé, à partir de la matière non vivante, les matériaux de base constitutifs de la cellule. Mais cette synthèse ne résout toujours pas le problème de l’origine de la vie. Car les six éléments chimiques cités plus haut peuvent s’associer sans pour autant former de la matière vivante. […] Une autre question se pose alors : la vie serait-elle spécifique à la Terre ? L’enjeu est considérable : en effet, la science ne sait traiter que d’événements reproductibles, ou au moins récurrents. L’approche scientifique demeure totalement démunie face à un phénomène biologique unique, qu’elle ne peut reproduire pour l’étudier. Si la vie est un phénomène spécifique à notre planète, alors l’étude de son origine devient impossible. » Quand la science a dit… c’est impossible !, sous la direction de Nayla Farouki (philosophe et historienne des sciences), Jean-Michel Alimi (chargé de recherche au CNRS, astrophysicien), Gilles Dowek (chargé de recherche à l’INRIA), Laurence Rolland (titulaire d’un doctorat d’Etat en biologie humaine), Editions du Pommier, 1999, p. 65-66



Le site où est présenté la BD sur Lucy nous indique tous les médias qui ont dit du bien de ce livre : Marianne, Le Figaro Magazine, Le nouvel Observateur, 20 minutes, Lire, TGV Magazine, Bodoï, Ici Paris, lci.fr, Ouest France, L'Est Républicain, La voix du Nord, L'Echo des Vosges, Le Courrier Picard, Sud Ouest, Le Courrier de l'Ouest, La gazette Nord Pas de Calais, L'Indépendant, Lille Plus, La Dépèche du Midi, Marseille l'Hebdo, Le vif/L'Express, Le Soir (Bruxelles).


Une telle unanimité ne peut que démontrer la symbiose parfaite entre la thèse de cette BD et la doxa de l'époque, la double propagande anti-créationniste (ou athée) d'une part, pro-métissage (ou mixophile) d'autre part.



Le JT peut être encore visionné quelques jours sur ce lien.

samedi 22 décembre 2007

Rappel : pour aider à ce que ce blog continue


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mercredi 19 décembre 2007

La télé publique fait recettes avec la Résistance


Nous avons vu il y a quelques semaines que le documentaire en prime-time sur la Shoah ne faisaient plus recettes. On aurait pu croire à une overdose de téléfilms sur la 2nde guerre mondiale. Aujourd'hui nous apprenons que la Résistance fait recettes :

"Audiences : France 2 leader avec un téléfilm français
imédias.biz, avec Médiamétrie
Mercredi 19 décembre 2007 09h16ardi, à 20h50, France 2 proposait le téléfilm Le silence de la mer. Le programme a permis à la chaîne de se hisser en tête des audiences en rassemblant, en moyenne, 5 894 720 téléspectateurs. La part d'audience atteint 23,1 %."

Outre le fait que ce téléfilm était très bien joué, avec des acteurs devant évoquer la plupart de leurs émotions par les seuls regards qu'ils échangaient (d'où le titre de ce téléfilm, tiré du livre du même nom), il s'agissait pour une fois d'un téléfilm où l'on parlait de la 2è Guerre Mondiale, de la résistance, de la collaboration, des nazis et de l'occupation ... mais pas de la Shoah. Ce fut ça aussi, la guerre, et la judéomanie contemporaine nous l'a presque fait oublier.
Le public français a montré à qui voulait l'entendre qu'elle ne l'avait pas oublié.
Il y a overdose de films, téléfilms et autres documentaires sur la Shoah, et l'overdose n'est pas un bon médicament, comme l'écrivait si justement le magazine Catholica.
Je laisse le dernier mot à Alain Finkielkraut, qui disait la même chose sur le service public en 2001 déjà :
« On ne doit plus militer pour davantage de cérémonie ou davantage de repentance. L’essentiel est fait. Et maintenant le travail doit se faire en chacun, dans chaque foyer, au travers d’un certain nombre de lectures. Et je vois personnellement avec inquiétude se profiler l’éventualité, en France et en Europe, d’un enseignement distincte de la Shoah. Notre religion positive, c’est les droits de l’homme, dont notre religion négative ce serait la Shoah, ce qui arrive à une société totalement oublieuse des droits de l’homme. Il ne faut pas arracher, soustraire cet événement à son histoire, et donc aux professeurs d’histoire. Ne pas introduire un catéchisme de la Shoah, ce serait aller beaucoup trop loin, et cela aurait de multiples effets pervers. » Alain Finkielkraut, L’entretien, France 2, 19.03.2001

dimanche 16 décembre 2007

Un antiracisme d'élite, sûr de lui-même et dominateur


Chacun appréciera :
- qu'une chaîne de télévision publique crache littéralement sur l'un des plus grands hommes, sinon le plus grand homme de l'Histoire de France
- qu'elle ne donne aucune version contradictoire de cette histoire, alors qu'il en existe.

Voici le travail qu'aurait dû faire France 3, des extraits issus d'un des nombreux livres parus sur le thème De Gaulle et Israël (celui-là est paru au PUF en 1991 sous la plume de Daniel Amson).

"Ma surprise avait été de me trouver seul à Londres, déclara un jour Charles de Gaulle. Sans aucune personnalité politique de quelque surface. Qu'avais-je comme Français autour de moi ? Des Juifs lucides, une poignée d'aristocrates, tous les braves pêcheurs de l'île de Sein..."

"Charles de Gaulle se montrait plus favorable à Israël que le président Truman, qui refusait de soutenir la candidature du nouvel Etat à l'ONU." p. 63

"Les relations du Général avec Israël étaient peut-être les meilleures qu'il ait jamais entretenues avec aucune collectivité nationale." p. 67

"Il n'en reste pas moins que la France poursuivit jusqu'en juin 1967 - soit pendant neuf ans des onze années au cours desquelles le Général de Gaulle dirigea le Gouvernement - une politique très favorable à l'Etat juif." p. 72

"Jamais, sauf peut-être pour le chancelier Adenauer, le fondateur de la 5è République n'aura, pour un homme d'Etat étranger, des mots aussi flatteurs et chaleureux que ceux qu'il adressera à David Ben Gourion.
Envers Israël, déclara le Président français, nous ressentons de l'admiration, de l'affection et de la confiance... Vous, monsieur Ben Gourion, symbolisez en votre personne la merveilleuse résurrection, la renaissance, la fierté et la prospérité d'Israël. A mes yeux, vous êtes le plus grand homme d'Etat de ce siècle." p. 74

Et finalement la réponse de De Gaulle lui-même à ces accusations indignes :
"Je n'ai outragé personne ! Vous savez très bien que, quand on étudie un texte sérieusement et honnêtement, on n'isole pas une phrase de son contexte, à plus forte raison un mot à l'intérieur d'une phrase, sans quoi ... on fausse l'idée exprimée. J'ai dit du peuple juif non pas qu'il était un peuple dominateur, mais qu'il était un peuple d'élite, sûr de lui-même et dominateur : il y a tout de même une sérieuse nuance! Dans un sens, c'est même un compliment que j'ai fait aux Juifs ; j'aurais mieux compris leur réaction indignée, si j'avais dit, par exemple, qu'ils étaient outrecuidants, ce qu'ils sont cependant, bien souvent !
Ah, si seulement on pouvait le dire des Français ... peuple d'élite, dominateur et sûr de lui." p. 112


vendredi 14 décembre 2007

Agro-alimentaire et chantage publicitaire





Les deux chaînes du service public se sont une fois de plus couchées devant les pressions des gros industriels de l'agro-alimentaire, et au détriment des plus petits. Première preuve hier soir, dans Envoyé Spécial, avec un reportage consacré aux acides-gras trans, ces graisses cachées dans nos produits de grande consommation.

"Enquête Acides gras trans, le risque invisible
Une enquête de Frédéric Boisset, William Reymond et Luc Hermann.
Les acides gras trans, nous en mangeons chaque jour. On en trouve à l'état naturel dans les viandes et les produits laitiers, en petites quantités.Une équipe d'Envoyé Spécial s'est intéressée aux acides gras trans artificiels, créés en laboratoire par les industriels de l'agro alimentaire. Ils sont partout : grâce à ces graisses trans les frites sont plus croustillantes, les pâtisseries sont plus fondantes, les pâtes plus moelleuses. Ces graisses sont faciles à produire et bon marché. Un rêve d'industriel.Mais ces acides gras trans sont nocifs pour nos artères. Dans le monde entier, des scientifiques tirent la sonnette d'alarme. Si on en consomme trop, le risque de maladies cardiaques augmente. Aux Etats Unis, c'est un problème de santé publique. En France rien ou presque. Pourtant, 2 millions et demi de personnes en mangent trop, sans le savoir. 10% des garçons âgés de 12 à 14 ans en consomment autant que les petits Américains." Site d'Envoyé Spécial

Parmi les produits montrés du doigt, Savane, de Brossard. L'équipe d'Envoyé Spécial a même retrouvé, malgré l'absence de coopération de la marque, leur fournisseur en acides gras trans. Et les responsables de cette entreprise belge avaient du mal à répondre aux questions des journalistes, le malaise était palpable et les retombées sur la marque peuvent être énormes. On peut difficilement imaginer qu'un tel reportage à une heure de grande écoute n'ait aucune répercussion, ni sur la société ni a fortiori sur son cours de bourse, à cours et moyen terme.

On peut s'étonner du fait qu'une chaîne de service public française choisisse de s'acharner sur une entreprise française, plutôt que sur une entreprise, au hasard, américaine, alors que celles-ci sont bien plus responsables de l'obésité dans le monde et en France. Notamment, à un moment du reportage la marque Twix était floutée, alors qu'il s'agit d'une production américaine (groupe Mars). Pourquoi dès lors ne pas avoir flouté Brossard ? Sans doute parce que le chiffre d'affaire de Brossard se chiffre en millions d'euros, alors que celui du groupe américain auquel Twix appartient se chiffre en milliards d'euros. La puissance publicitaire de Mars étant là aussi très largement supérieure à celle de Brossard.
Pourquoi avoir dépeint les USA comme "très en avance sur la France", alors que leurs produits en France contiennent aussi des acides gras trans ?

Globalement s'il faut reconnaître l'utilité d'un tel reportage, on peut regretter le manque de patriotisme économique d'une chaîne financée par la France et les Français, et sa soumission par rapport aux intérêts des plus grosses entreprises au détriment des plus petites (Brossard compte 200 personnes environ).

De son côté France 3 a fait pire, en censurant carrément une de ses émissions sous la pression d'un chantage publicitaire.

"France 3 craint la colere de Lactalis - Confidentiels - Lepoint.fr.
«La chaine publique annule la diffusion de la dernière émission d' On peut toujours s'entendre , prévue samedi 15 décembre. Le thème : la "guerre du camembert". Au cours de ce programme devait être évoquée la menace que le lait "thermisé" fait peser sur le lait cru.
Echaudé par la prochaine diffusion d'un documentaire intitulé Ces fromages qu'on assassine prévu en prime time le 26 décembre, Lactalis, premier groupe fromager européen, avait déjà menacé France 3 de suspendre ses achats d'espaces publicitaires.
En annulant la diffusion de l'émission du 15 décembre, la chaine a donc jugé opportun de ne pas jeter de lait sur le feu.»... "

Addendum 17/12 : l'émission sur Lactalis a finalement été diffusée le 15.

dimanche 9 décembre 2007

Trop, c'est trop


Ce soir, au Journal de 20h de France 2, à l'heure où l'audience est maximale, c'est encore le mari d'Ariel Dombasle qui est l'invité spécial de Laurent Delahousse, pour réagir, cette fois, à l'invitation de Muhammar Khadafi par l'Elysée demain.

Après une invitation dans quasiment toutes les émissions de la télé publique où il était possible qu'il soit invité, pour parler de son dernier livre, le mari d'Ariel Dombasle est donc à nouveau invité, au JT cette fois.

C'est tout simplement indécent, que le service soit-disant public favorise ainsi certains à outrance, et défavorise d'autres (dont votre serviteur, mais je suis très loin d'être le seul).

Au fait, le dernier livre du mari d'Arielle Dombasle se vend mal, très mal même, une preuve supplémentaire du fossé qui ne cesse de se creuser entre la télévision publique et son public.

mardi 4 décembre 2007

Baromètre qualitatif de France Télévisions


France Télévisions vient de rendre public les résultats de son premier baromètre qualitatif, où 10 000 téléspectateurs ont été "sondés" sur les programmes des chaînes du service public. Etonnamment, pour ce qui est des émissions culturelles et politiques, ce blog est parfaitement en phase avec les 10 000 téléspectateurs, puisque seul Ce soir ou jamais ressort du lot. Ripostes, Chez Fog, Esprits libres, Revu et corrigé, Le bateau-livre, etc. ne figure pas dans ce baromètre. Il est temps d'en tirer les conclusions qui s'imposent.

France 2
1. Faisons un rêve. Théâtre. 8,6/10
2. IRCGN, les vrais experts. Documentaire. 8,4/10
3. Man on fire. Film. 8,4/10
4. Faites entrer l'accusé. Magazine. 8,4/10
5. Cold Case. Série. 8,2/10

France 3
1. Le lien. Téléfilm. 8,8/10
2. Comme un juif en France. Documentaire. 8,6/10
3. Ce soir ou jamais. Magazine. 8,2/10
4. 36, quai des Orfèvres. Documentaire. 8,1/10
5. Thalassa. Magazine. 8,1/10

France 5
1. Case documentaire de 16h. 8,9/10
2. En terre inconnue. Docu-réalité. 8,7/10
3. Case documentaire de 15h. 8,6/10
4. Silence, ça pousse. Magazine. 8,5/10
5. Case documentaire de 11h. 8,5/10